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Jean-Gabriel Perboyre, sur sa croix de Chine. Un homme né le 6 janvier 1802 au hameau du Puech, dans le village de Montgesty près de Cahors, à 40 kilomètres de Montcuq.
Parti en Chine pour y convertir les masses, pays dont l’entrée était interdite, il sera lié sur un gibet en forme de croix, exécuté par strangulation, le 11 septembre 1840.
Dès 1843, le Pape Grégoire XVI le déclarait vénérable.
Il fut béatifié le 10 novembre 1889 par le Pape Léon XIII.
Ainsi de nombreuses statues (le plus souvent de plâtre) portent encore l’inscription "Bienheureux" alors qu’il est passé au rang supérieur : canonisé le 2 juin 1996 par le Pape Jean-Paul II.
En 1890, Gustave Pierre Dagrant, peintre-verrier de Bordeaux, installait un vitrail le représentant à Sainte-Croix.
Juste à côté, à Lebreil, versant Caminel, également après le 10 novembre 1889, un autre peintre verrier le représentait également, non daté, non signé, "Bienheureux Perboyre."
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Photos publiées dans La disparition d'un canton : Montcuq, livre disponible en papier et numérique. notes pour acheter.
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